La nature et la préservation des bâtiments
Au cours des deux décennies environ pendant lesquelles j’ai déjà été impliqué dans la conservation, même lorsque je n’étais qu’un supporter, un auteur ou un penseur, Big Ben il y a toujours eu quelque chose concernant le mouvement qui me frottait. Dans mes meilleurs moments, moins bruyants, une partie de ce que j’ai remarqué et de ce que j’ai remarqué de ceux qui partageaient mes préoccupations pour l’atmosphère ne collait pas. Il offre utilisé un long moment pour obtenir un minimum de clarté sur ce que les causes exactes de ce malaise étaient. Au fur et à mesure que je me suis concentré sur ces causes d’inconfort au fil des ans, je me suis aussi découvert personnellement de plus en plus étranger au mouvement lui-même, à mon grand dam. J’accorde une grande valeur à une terre saine, vierge ou utilisée de manière responsable, autant que jamais, peut-être même beaucoup plus. Néanmoins, je constate que je ne suis pas en mesure de me ranger du côté de la majorité des écologistes et d’affirmer ce qu’ils affirment. Je découvre que le milieu éthique des écologistes est perplexe, indiscipliné, inutilement et improductivement révolutionnaire, et (très franchement) complètement hypocrite. Peut-être suis-je simplement en train de vieillir. Pourtant, malgré la coagulation qui vient avec le groupe d’âge, et malgré la valeur que je porte à la clarté et à la solidité de la pensée, je ne me considère pas comme un penseur blanc et noir. Je réalise bien la complexité du cœur humain et que nous sommes tous, en fin de compte, des paradoxes ambulants. C’est exactement ce qui fait de nous des êtres vivants et non des appareils.
Mais, lorsque j’en suis venu à apprécier plus profondément le calibre des pensées et de l’âme que prennent la propriété et l’amour de celle-ci, nous avons pu reconnaître que le mouvement écologique n’est pas dans votre propre maison avec ses nombreux compagnons de lit politiques et sociaux actuels. Elle n’est pas chez elle dans les rangs des libéraux radicaux, pas plus que chez vous avec les économistes du laissez-faire. S’il continue d’être là, au minimum comme une cause libérale publiquement reconnue, son raisonnement moral sera toujours affecté et confus, et son message non entendu et non pris en compte par beaucoup d’Américains. Dans cette section, nous allons examiner brièvement pourquoi nous en sommes venus à croire qu’il en est ainsi, en utilisant l’avortement (une question supplémentaire mise en avant par la gauche) comme une recherche de situation. En tant que mouvement appartenant désormais presque exclusivement à la gauche, la rhétorique environnementale et les politiques qu’elle propose sont lancées dans le public américain en même temps qu’un éventail vertigineux d’autres programmes. Certains de ces plans sont équilibrés et bons, comme l’utilisation de soins de santé décents pour tous, tandis que d’autres sont assez extrêmes et font partie d’organisations d’intérêts vraiment spécialisés. Les antécédents de ce type d’organisations montrent qu’elles sont souvent peu soucieuses du bien commun et donc, au pire, dédaigneuses des valeurs qui ont formé, puis façonné, l’Amérique. Le but de certaines de ces organisations serait de professionnaliser de la culture tout ce qui ne fait pas ou ne va pas affirmer leur mode de vie. Ils visent leurs sites sur les institutions traditionnelles qui aident à cohérer les sociétés ensemble, comme les membres de la famille, et tirer la gâchette. Malheureusement, il est difficile pour votre public américain de démêler ces plans et de faire face à chacun de ses avantages. Ils découvriraient en fait que, même s’ils essayaient, ils ne le pourraient pas. Si je vote pour l’environnement, je vote également en faveur de l’avortement et des programmes LGBTQ, pour ne citer que deux de ces programmes étroitement liés. Le facteur le plus grave de tous est que la rhétorique, les tactiques, ainsi que les objectifs de ces organisations sont souvent tout à fait irréguliers par rapport à l’objectif d’efficacité de la propriété et des attitudes morales qui en découlent. Ces comportements comprennent, sans s’y limiter, un respect profond et une obéissance aux limites de la mère nature, la responsabilité personnelle, le sacrifice dans l’intérêt de l’autre, la fidélité, la stabilité et l’auto-législation.