Catalogne: un problème démocratique
Dans un changement renversant et très légalement douteux adopté le 3 janvier, le pourcentage électoral principal du gouvernement fédéral de langue espagnole, un corps administratif sans aucun pouvoir judiciaire, a voté pour se débarrasser du président catalan Joaquim Torra du lieu de travail immédiatement. Dans un dialogue tenant compte du fait que la même nuit, Torra a refusé la légitimité du jugement, déclarant qu’en termes de se débarrasser de lui du lieu de travail, il ne réagit qu’à la volonté des Catalans et du Parlement catalan. Dans des situations désespérées, période du parlement convoquée la fois suivante, Torra a acquis le soutien total et sans ambiguïté du bloc majoritaire d’autosuffisance du parlement catalan. Dans le même temps, à travers la cérémonie de mariage d’investiture du prospect parfait du ministre socialiste Pedro Sa´nchez qui a eu lieu en même temps à Madrid, les partis de droite Vox et PP ont appelé l’emprisonnement immédiat de Torra et les suspensions de la loi catalane de l’autonomie avec la réimposition de la rédaction de 155 de la Constitution comme cela a été fait après la déclaration de liberté catalane du 27 octobre 2017. Il s’agit d’une promenade intrigante et turbulente au cours des 20 derniers mois pour cette Torra de 58 ans. Jusqu’à 2 ans en arrière, il était en fait un dirigeant d’entreprise et un activiste culturel qui n’était nullement associé à la politique électorale à l’échelle nationale. Néanmoins, si le gouvernement central de langue espagnole a dissous le Parlement catalan après son vote d’indépendance d’octobre 2017 et a finalement acheté de nouvelles élections, Torra a proposé son titre comme choix parlementaire. Devant le choc de plusieurs et la consternation intense du gouvernement fédéral espagnol, le parti Ensemble pour la Catalogne du président Carles Puigdemont a reçu de loin le plus de voix au sein de la grande majorité du bloc pro-liberté, et donc le pouvoir de former un tout nouveau gouvernement. Madrid, cependant, ne possédait rien du. En janvier 2018, si le Parlement catalan était sur le point de prêter serment à Puigdemont par le biais d’une vidéo de son exil belge, le président du Parlement a interrompu le processus de manière inattendue en raison du risque de sanctions judiciaires qu’il avait subies de la part des tribunaux espagnols. Après que deux autres candidatures à l’indépendance des experts eurent été également sabordées, elles sont le résultat de la Torra, pour la plupart inconnue, qui a été à un moment donné inaugurée depuis la tête d’un gouvernement fédéral de coalition indépendantiste en mai 2018. Depuis leur entrée en fonction, ils ont a toujours clairement établi qu’il pense que son excellent objectif serait de faire avancer la Catalogne vers la liberté selon la méthode la plus rapide possible. Source: Séminaire Barcelone