La Rome ancienne pourrait détenir les secrets de notre système

Les experts d’aujourd’hui jettent un coup d’œil aux énigmes les plus complexes qui aient été éprouvées par les hommes modernes. Pour atteindre vos objectifs, ils doivent utiliser l’une des technologies les plus avancées et les moins performantes. Il est par conséquent paradoxal que la recherche de la question sombre puisse s’appuyer, en partie, sur la fonction des esclaves de la première Rome. Les astronomes estiment que la matière noire peut être un composé qui imprègne l’univers et qu’elle est cinq fois plus commune que celle qui nous compose le plus souvent. Cela provoque une rotation et une réécriture rapides des galaxies et est susceptible de déformer les images de galaxies lointaines. Les scientifiques croient depuis les années 30 que le sujet est plus sombre, mais nous n’avons maintenant aucune donnée directe pour le confirmer. Les tests à la recherche d’une faible luminosité font généralement la différence: construire un détecteur et le refroidir à l’absolu, absolument rien, environ 460 ° F indiqué ci-dessous no. À la température des personnes, les atomes avec le détecteur sont virtuellement fixes et, si une particule de sujet sombre se déplace à travers la planète et communique avec les atomes du capteur, ils peuvent vibrer et les vibrations vont être découvertes. Naturellement, incentive à Rome les rayons de fond produiront également une indication comparable et créeront une fausse détection. Les lumières faiblement éclairées font la différence Les expériences se situent généralement dans des mines situées à au moins cinquante pour cent de la surface souterraine. Un emplacement isolé est nécessaire pour protéger les détecteurs du barrage continu de radiations émises par une zone externe pouvant simuler l’alerte envisagée pour la matière noire. Une tentative prospère de trouver un problème faiblement éclairé dépend de manière cruciale du maintien du matériel dans une atmosphère dépourvue de radioactivité autant que possible. Et c’est là que les esclaves romains entrent dans le récit. Vers 2000, par le passé, une dépêche de fournisseurs de services romains très chargée se fixait au-dessus des vagues, à un kilomètre environ des côtes de la Sardaigne. Il transportait de nombreuses cargaisons, notamment un grand nombre de lingots de braquage extraits par des esclaves vivant dans la Sierra de Carthagène, dans le sud de l’Espagne. Les combats faisaient rage en Méditerranée, et l’avance devait être tournée vers les slings romains. La proximité de votre dépêche sur la côte a incité les érudits romains à spéculer sur le fait que ce navire avait été sabordé à dessein pour empêcher la cargaison de glisser dans les doigts de l’adversaire. Les archéologues de la marine ont découvert le navire au début des années 90 et ont récupéré plusieurs de ses marchandises, dont une quantité non négligeable de lingots. Ces personnes ont été emmenées à la galerie nationale d’art archéologique de Cagliari pour y être examinées. Lire la suite sur le site de In-Rome.