Humanoïdes associés

Après des années de retard, les robots entrent dans nos existences. Ils crapahutent sur leurs 2 jambes, dialoguer, SEO Lille déchiffrer nos émotions. Et ce n’est qu’un prélude ! Ils ont déjà commencé à s’immiscer dans les chantiers, faciliter la vie des salariés, nous apporter leur aide pour faire le ménage… Hier, j’ai même suivi un séminaire à Lille qui leur était totalement consacré. Le propos global de ce symposium concernait plus exactement sur la collaboration entre homme et robot et ses conséquences, tant dans l’industrie que dans le domaine des services robotiques. La conférence ne s’intéressait pas aux développements technologiques. La problématique était surtout abordé sous l’angle des facteurs humains et l’évolution dans les processus industriels, des innovations imaginées. En entendant les différents intervenants, j’ai compris qu’un changement majeur s’était effectué dans les consciences : les robots ne sont plus considérés comme des suppléants, mais bien comme des associés. A tel point qu’on ne parle plus des robots que de robots humanoïdes collaboratifs, Formation referencement naturel Lille désignés comme étant des cobots. La robotique collaborative consiste à penser les robots non comme des travailleurs isolés mais afin qu’ils travaillent au contact et en association avec l’homme. Cette participation d’un nouveau genre réclame par conséquent une intelligence embarquée, assez avancée pour traduire les données communiquées par les senseurs internes du robot, et également que le robot soit compliant, que ses mouvements soient souples, non dangereux pour l’homme. La robotique collaborative intéresse aujourd’hui tous les secteurs économiques, grandes entreprises ou PME. La polyvalence, la fiabilité et le prix qui caractérisent les robots en font des outils permettant l’automatisation de tâches peu ou pas robotisées à l’heure actuelle. La robotique collaborative est en somme la deuxième étape de robotisation des industries, base de l’usine de demain pour relancer la compétitivité des entreprises. Je crois que les prochaines années vont être grisantes à vivre. Les robots ont encore un long chemin à faire pour être acceptables et acceptés. Mais ce congrès m’a convaincu. Et il y a fort à parier que d’ici 10 ans, chaque foyer aura un Poppy au boulot ou à la maison pour nous épauler dans nos corvées.